Mise en service le 6 novembre 2015, l’installation Quest de CSC a été conçue pour capter chaque année environ un million de tonnes de CO2 provenant de l’exploitation des sables bitumineux et stocker le CO2 de façon sécuritaire dans un réservoir de grès à plus de 2 km sous terre. L’installation Quest a dépassé ses objectifs et réduit ses coûts grâce à un excellent réservoir de stockage disposant d’une importante capacité d’injection de CO2 et à la fiabilité de l’installation de captage avec moins de 1 % d’arrêts par an. L’Alberta est l’endroit parfait pour le projet de CSC : ses aquifères salins profonds et ses champs pétrolifères épuisés offrent de grandes possibilités pour le stockage sécuritaire du CO2 sous terre.

Shell est présente sur l’ensemble de la chaîne de valeur du projet de CSC et continue d’investir dans le CSC à l’échelle mondiale pour atteindre son objectif de devenir d’ici 2050 une entreprise énergétique entièrement carboneutre. Shell, de concert avec ses partenaires Total et Equinor, a pris une décision finale d’investissement dans le projet de CSC Northern Lights (en anglais seulement) en Norvège en mai 2020. L’équipe du projet Quest a acquis des connaissances au cours des cinq dernières années, qu’elle chercher à transmettre pour encourager une mise en œuvre du CSC à plus grande échelle. Elle en a notamment fait profiter l’équipe du projet Northern Lights. Le site Web du gouvernement de l’Alberta (en anglais seulement) affiche, dans un rapport annuel, les changements apportés à la conception technique et les données de rendement de l’installation Quest.

Quest est la première installation de CSC d’envergure commerciale au monde liée à l’exploitation des sables bitumineux et est exploitée par Shell pour le compte du projet d’exploitation des sables bitumineux de l’Athabasca (PSBA). La participation globale (directe et indirecte) dans le PSBA est répartie entre les sociétés suivantes : Canadian Natural Resources Limited et une société affiliée (70 %), Chevron Canada Limited (20 %) et Shell Canada Limitée par l’entremise de certaines filiales (10 %).

Citations :

« Félicitations à Shell et à ses partenaires en coentreprise d’avoir réalisé cette étape importante. Dépasser les objectifs de captage et de stockage sécuritaire des émissions de CO2 à l’installation Quest démontre l’engagement du secteur de l’énergie envers les innovations technologiques et celui du gouvernement à l’égard d’une mise en valeur responsable des ressources énergétiques. Nous sommes ravis que Shell prenne le temps de nous faire part de cet exemple de réussite. Le captage et le stockage de carbone (CSC) fonctionne et l’installation Quest est utilisée à titre d’exemple par les autres installations dans le monde pour mettre le CSC en œuvre à grande échelle. Nous unirons nos voix pour répéter au monde qu’il n’y a pas de meilleur endroit pour produire de l’énergie qu’ici en Alberta. » – L’honorable Jason Kenney, premier ministre de l’Alberta

« Notre énergie est produite selon les normes les plus élevées au monde en matière d’environnement, de droits de la personne et de travail. C’est pourquoi le Canada, mené par l’Alberta, se classe au troisième rang parmi les pays producteurs de pétrole en ce qui a trait aux facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) – et nous sommes résolus à intensifier ces efforts. L’étape franchie par l’installation Quest en matière de CSC représente l’exemple parfait de la façon dont l’utilisation de technologies innovantes permettra à l’Alberta de s’appuyer sur ses acquis dans le domaine énergétique, alors qu’elle ouvre la voie à la croissance et à la prospérité de secteurs émergents. Félicitations à Shell Canada, à ses partenaires de coentreprise et à tous ceux et celles qui ont contribué au succès impressionnant de l’installation Quest. » – Sonya Savage, l’honorable ministre de l’Énergie de l’Alberta

« L’adoption à grande échelle du captage et du stockage de carbone est l’une des solutions clés dont le monde a besoin actuellement pour contribuer à la résolution des problèmes liés au changement climatique. Dans sa cinquième année d’exploitation, l’installation Quest continue d’être un très bel exemple du fonctionnement du CSC et démontre que le CSC permet de réduire considérablement les émissions de CO2 et à un coût plus faible que ce qui était anticipé. L’expertise, les cadres réglementaires et la géologie de l’Alberta en font l’endroit idéal pour poursuivre le développement de la technologie du CSC. » – Michael Crothers, président de Shell au Canada

« La dernière étape franchie par l’installation Quest met en lumière le leadership du secteur en matière d’exploitation de la technologie et l’ingéniosité du Canada pour produire d’importantes réductions des émissions de CO2. Il s’agit d’un excellent exemple de réussite pour le Canada. Cette réalisation reflète le partenariat entre le secteur et le gouvernement ainsi que l’engagement d’équipes dévouées qui collaborent afin d’améliorer continuellement le rendement opérationnel et environnemental. » – Tim McKay, président, Canadian Natural

Notes de la rédaction :

  • L’installation Quest de CSC capte et stocke environ le tiers des émissions de CO2 provenant de l’usine de valorisation de Scotford exploitée par Shell près de Fort Saskatchewan, en Alberta, qui transforme les sables bitumineux en pétrole brut synthétique, lequel peut être raffiné pour devenir du carburant et d’autres produits. Le CO2 est transporté dans un pipeline de 65 kilomètres et est injecté à plus de deux kilomètres sous terre sous de multiples couches rocheuses imperméables.
  • L’installation Quest est celle qui a stocké le plus d’émissions de CO2 parmi toutes les installations terrestres de CSC dotées d’une unité de stockage géologique à l’échelle mondiale. Elle a aussi capté plus de CO2 dans une année civile que toute autre installation de CSC dotée d’une unité de stockage géologique. Source : Global CCS Institute
  • L’installation Quest possède un programme de mesure, de surveillance et de vérification rigoureux dans le cadre duquel un tiers (Det Norske Veritas [DNV]) s’assure que le CO2 est stocké de façon permanente.
  • Les gouvernements du Canada et de l’Alberta ont alloué 865 millions de dollars à la construction et à l’exploitation de l’installation Quest. Cette dernière a été bâtie par Shell et a commencé ses activités en 2015.
  • La technologie de CSC peut être appliquée à un vaste éventail de secteurs, notamment la production d’acier, de ciment et d’électricité, en vue de réduire considérablement les émissions de CO2.
  • Shell participe à plusieurs projets de CSC dans le monde. Shell est l’un des partenaires du projet Gorgon, dirigé par Chevron, en Australie, détient une part dans le Centre des technologies de Mongstad (TCM), en Norvège, et a pris récemment une décision finale d’investissement dans le projet de CSC Northern Lights, en Norvège. La technologie de CSC mise au point par Cansolv, une filiale de Shell, est utilisée dans le cadre du projet de CSC de la centrale Boundary Dam en Saskatchewan.

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Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs (au sens de la U.S. Private Securities Litigation Reform Act de 1995) au sujet de la situation financière, des résultats d’exploitation et des activités de Royal Dutch Shell. Tous les énoncés, sauf les énoncés de faits historiques, sont ou peuvent être considérés comme des énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs sont des déclarations prévisionnelles fondées sur les attentes et hypothèses actuelles de la direction et comportent des risques et incertitudes connus ou non qui pourraient faire différer sensiblement les résultats, le rendement ou les événements réels de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans ces énoncés. Les énoncés prospectifs comprennent, entre autres choses, des énoncés sur l’exposition potentielle de Royal Dutch Shell aux risques du marché et des énoncés exprimant les attentes, convictions, estimations, prévisions, projections et hypothèses de la direction. On reconnaît ces énoncés prospectifs à des verbes ou expressions comme « visée », « ambition », « anticiper », « croire », « pouvoir », « estimer », « s’attendre à », « buts », « avoir l’intention de », « peut-être », « objectifs », « perspective », « plan », « probablement », « projeter », « risques », « calendrier », « rechercher », « vouloir », « cible », « viser » ou d’autres termes et expressions semblables. Un certain nombre de facteurs peuvent influencer les activités à venir de Royal Dutch Shell et faire en sorte que les résultats soient sensiblement différents de ceux exprimés dans les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué. Ces facteurs comprennent, sans s’y limiter : a) les fluctuations de prix du pétrole brut et du gaz naturel; b) les variations de la demande envers les produits de Shell; c) les fluctuations du cours des devises; d) les résultats de forage et de production; e) les estimations des réserves; f) la perte de parts de marché et la concurrence; g) les risques écologiques et physiques; h) les risques liés à la détermination adéquate d’éventuelles acquisitions et la réussite des négociations et des transactions qui en découlent; i) les risques liés aux activités commerciales dans les pays en développement et les pays faisant l’objet de sanctions internationales; j) l’évolution des mesures législatives, fiscales et réglementaires, notamment l’adoption de mesures réglementaires relatives au changement climatique; k) la conjoncture économique et celle des marchés financiers dans divers pays ou régions du monde; l) les risques politiques, notamment les risques d’expropriation et de nouvelles négociations des dispositions contractuelles avec les gouvernements, les retards ou devancements dans l’autorisation des projets et le retard dans les remboursements des coûts partagés; m) les risques associés aux répercussions des pandémies, telles que l’éclosion de la COVID-19 (maladie à coronavirus); n) les modifications des conditions des échanges commerciaux. Aucune assurance n’est donnée que les futurs paiements des dividendes correspondront aux paiements de dividendes passés ou qu’ils leur seront supérieurs. Tous les énoncés prospectifs compris dans le présent communiqué sont visés expressément, dans leur intégralité, par la présente mise en garde ou par les renvois qu'elle contient. Les lecteurs ne devraient pas prêter une confiance exagérée aux énoncés prospectifs. Le formulaire 20-F de Royal Dutch Shell relatif à l’année qui s’est terminée le 31 décembre 2019 (accessible à www.shell.com/investor et à www.sec.gov) mentionne d’autres facteurs de risque susceptibles d’influencer les résultats à venir. Les lecteurs devraient également prendre en considération ces facteurs de risque qui visent expressément tous les énoncés prospectifs compris dans le présent communiqué. Chaque énoncé prospectif est valable uniquement à la date du présent communiqué, à savoir le 10 juillet 2020. Ni Royal Dutch Shell plc ni aucune de ses filiales n’assument l’obligation de mettre à jour ou de réviser publiquement un énoncé prospectif quelconque en raison de l’obtention de nouveaux renseignements, d’événements à venir ou d’information divergente. Compte tenu de ces risques, les résultats peuvent être sensiblement différents de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans les énoncés prospectifs du présent communiqué, ou qui peuvent en être déduits.

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